dimanche 27 avril 2014
ELECTION ASEERT 2014 : Moussa Diallo élu président
Le candidat de la liste verte Moussa Diallo a été élu président de l’ASEERT, hier, à la Faculté des Sciences et techniques (FST) de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad), où les élèves et étudiants de la région de Tambacounda à Dakar sont venus massivement accomplir le vote.
L’Association des élèves et étudiants ressortissants de la région de Tambacounda (ASEERT) a un nouveau président. L’étudiant en 3e année de Philosophie à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines (FLSH), Moussa Diallo arrive en tête avec 306 voix.
Le nombre de votants s’élève à 724 avec six bulletins nuls. Abdou Ngom et Djibryl Dicko viennent loin derrière avec respectivement 200 et 123 voix. Fodé Banora a eu 89 voix.
L’élection a été un moment de retrouvailles entre certains étudiants tambacoundois des différentes localités. Mais aussi d’anciens camarades de classe qui ne se sont pas vus depuis des années.
Nombre de votants 724
Bulletin nuls 06
Moussa Diallo 306 voix
Abdou Ngom 200 voix
Djibril Dicko 123 voix
Fodé Banora 89 voix
vendredi 25 avril 2014
Election Aseert samedi : Quatre candidats en lice
La succession du président sortant de l’Association des élèves et
étudiants ressortissants de Tambacounda (ASEERT) Sadikh Diakhaté est lancée.
Les élèves et étudiants ressortissants de la région de Tambacounda à Dakar sont
appelés aux urnes, ce samedi 26 avril à 16h, à la Faculté des sciences et techniques (FST) pour choisir leur nouveau président.
Quatre candidats sont en lice. Il s’agit d’Abdou NGOM (étudiant en
Master 1 à la Faculté des sciences et techniques, FST), Djibril DICKO (licence 3
en Philosophie) de Moussa DIALLO (licence 3 en Philosophie), Fodé BANORA (licence
3 en Anglais).
En ce moment, nous dit-on, « l’heure
est à la mobilisation et à la massification, qui se font par des portes à
portes au campus social de l’Ucad, à la cité Claudel et dans les quartiers
environnants où loge un nombre important d’étudiants tambacoundois ».
mardi 15 avril 2014
Tambacounda : Saré Guiléle réceptionne sa case des touts petits
La mairie de la commune a restitué 400 m2 des 1600 que ce quartier avait mystérieusement perdus pour cette école. Pendant cette cérémonie de réception, le coordonnateur de l’Agence Régionale de la Case des Touts Petits, Inspecteur Youssouph Sarré a annoncé la restitution de 400 autres mètres carrés. «Et que tout est mis en place pour reprendre la totalité de l’espace réservé à cette structure. La directrice madame Mame Diarra Ndiaye s’est dite engagée à entretenir, conserver et préserver cet édifice qui est l’un des bijoux de la ville ».
Ces nouveaux locaux offrent
un cadre sécurisé, hygiénique, spacieux et garantissant un enseignement apprentissage
de qualité. Pour Abdou Karim Sané, président du cercle des amis de Tambacounda,
partenaire, « ceci n’est qu’un geste
de développement de cette cité ». Il pense que les gens doivent
permettre à la région de se développer et laisser de côté les querelles
intestines qui ne mènent nulle part. La structure comprend : 3 classes
physiques (petite, moyenne et grande sections) ; une direction, un magasin,
une cuisine, une salle d’accueil, des toilettes et un aire de jeux.
L’Inspecteur Dominique Diouf, Chef de
Circonscription est largement revenu sur l’histoire de cette case qui a connu
beaucoup de péripéties pour son implantation. Mais aussi les avantages de ce quartier
avec sa classe expérimentale, franco arabe. Le choix fait sur madame Mame
Diarra Ndiaye pour diriger l’établissement n’est pas fortuit, dit il. Elle est
parmi celles qui savent relever le défi. C’est l’adjoint au préfet du
département, Ibra Mbodj, qui a coupé le ruban pour le bonheur des touts petits
bouts de boit de Dieu.
(Tambacounda.info)
vendredi 11 avril 2014
Tambacounda : installation du comité électoral entre partisans du Benno Bokk Yakar, enfin le bout du tunnel
Les responsables de l’Alliance pour la république du président Macky Sall ont surpris plus d’un, lors de leur rencontre. Abonnés aux grandes disputes et autres empoignades, Ils ont, cette fois-ci, réussi avec leurs alliés de Benno Bokk Yakar, à trouver un compromis pour mettre en place un comité électoral consensuel.
Enfin, dira-t-on, quant on sait que les
négociations ont duré plus d’une vingtaine de jours, entre les responsables qui
peinaient à trouver un consensus. Ouf de soulagement, ils l’ont
certainement poussé, après avoir réussi à arrondir les angles car, le président
du parti Macky Sall avait déjà lancé les menaces. « Nous sommes aujourd’hui, face à la presse, pour éclairer
l’opinion, sur la situation politique actuelle qui prévaut dans la coalition
BBY, à Tamba », a lancé d’entrée de jeu, le coordonnateur régional du
parti Apr. « dieu merci, nous avons
trouvé un consensus avec nos alliés du Benno Bokk Yakar. Nous constituerons
ensemble un comité électoral, qui prendra en compte les différentes
recommandations du compromis », ajoute Mame Balla, avant de donner la
parole au porte-parole du jour, le sieur Mamadou Kassé. A l’en croire, tous les
partis membres du Benno bokk Yakar, se sont retrouvé, et ont décidé, ensemble
de briguer le suffrage des tambacoundois.
Cela voudrait dire qu’ils iront ensemble aux
élections, que ce soit le Ps, la Ldmpt, l’Aj de Landing, entre autres, tous
étaient présents à la rencontre, pour témoigner de leur adhésion à l’idée
émise. Cependant, les journalistes ont eu à leur demander qui dirigera la
liste. Répondant à la question, le député Lô dira qu’ils n’en sont pas à ce
niveau et que les négociations vont se poursuivre pour trouver un compromis à
tout cela. L’objet de la rencontre d’aujourd’hui consistait seulement à
éclairer l’opinion, que le BBY et l’Apr ont trouvé un consensus, et iront
ensemble, pour aller briguer le suffrage des populations. Toutefois,
pense-t-on, cette union ne sera-t-elle pas sapée par le choix de la tête de
liste qui risque de les « rediviser » ?
De toutes les façons, une épine vient d’être ôtée de leurs pieds, reste
maintenant à savoir, s’ils sauront éviter la pointe posée devant eux.
Pourront-ils l’éviter ou marcheront-ils-la dessus ? C’est ça, la vraie
équation. Néanmoins, retenons ce qu’ils nous ont servi : ils iront
ensemble aux élections. Mais « Wait
and see ».
mercredi 9 avril 2014
Tambacounda : près de 2.000 cartes d’électeur en souffrance à la commission de distribution
Près de 2.000 cartes d’électeur datant de 2005 à 2013 sont en souffrance à la commission de révision et de distribution des cartes d’électeur de la commune de Tambacounda, a appris l’APS auprès de son président, Ndiogou Diankha.
Au total 1.985 cartes attendent d’être retirées, dont un stock de 751 cartes datant de 2013, et 1.234 autres confectionnées sur la période allant de 2005 à 2012. La commission n’a pas encore reçu de cartes de 2014.
Sur les 3.695 cartes disponibles au démarrage de la commission, le 18 décembre 2013, 1.710 ont été retirées, soit, 49, 6%.
‘’Ce sont surtout les cartes de 2005 à 2012 qui sont en souffrance’’, a souligné le président de la commission, non sans noter que pour ce qui est spécifiquement des cartes de 2005, ‘’il n’y a personne qui vient les réclamer’’.
‘’Sur les 1.268 cartes (datant) de 2005-2012, 34 cartes ont été distribuées, sur les 2.427 cartes de 2013, 1676 ont été distribuées’’, a indiqué le président de la commission de révision et de distribution des cartes d’électeur dans la commune de Tambacounda, Ndiogou Diankha.
Ce qui donne un taux de retrait de 2,6% pour le premier groupe de cartes d’électeur, et plus de 69% pour le second groupe.
‘’Au début, il y avait un rush, mais j’ai constaté qu’il y a une diminution; Les gens viennent petit à petit pour retirer leurs cartes’’, a dit M. Diankha, pour qui, il incombe aux responsables politiques de sensibiliser leurs militants pour les amener prendre possession de cette pièce leur permettant de voter.
Comparant le niveau de présence des hommes politiques à la commission dans les années 2010 et 2011, soit avant la présidentielle, à celle d’aujourd’hui, il a relevé une nette différence. ‘’D’habitude, ils passaient très souvent, mais il y a un bon moment, il n'y a aucun responsable politique qui passe’’, note-t-il.
Cette baisse du rythme de retrait des cartes a été notée depuis le mois de mars, a-t-il dit.
Toutefois, la commission continue de recevoir fréquemment la visite de personnes qui souhaitent s’inscrire, alors que les inscriptions ont été closes depuis fin janvier.
Regrettant que l’information ne soit pas suffisamment passée auprès des populations, il souhaite un meilleur engagement des hommes politiques, afin de sensibiliser leurs militants, sur la nécessité d’aller retirer leur pièce.
‘’Nous sommes tenus de dire à des militants qui viennent retirer leur carte, de demander à leurs amis avec lesquels ils étaient venus s’inscrire, de venir en faire de même’’, avant la fermeture de la commission prévue le 28 juin, a dit l’ancien policier. ‘’Le Sénégalais aime trop la dernière minute’’, fait-il remarquer.
(APS)
samedi 5 avril 2014
Tambacounda : vaste mobilisation populaire pour la fête du 4-Avril
La population de la commune de Tambacounda est venue massivement assister au défilé du 4-Avril, vendredi, marquant le 54ème anniversaire de l’accession du pays à la souveraineté internationale.
L’Avenue Demba Diop a renoué avec la grande mobilisation populaire, avec le retour du défilé civil et militaire, après une pause de deux ans durant lesquels il n’y a eu que de simples prises d’armes.
Les habitants de tous âges, les jeunes, surtout, s’étaient massés tout autour du théâtre du défilé, bien avant le démarrage, peu après 9 heures. Pendant plus de deux heures, malgré la chaleur, ils sont restés.
Au total 1575 défilants ont été engagés pour cette manifestation, le gros de la troupe étant constitué de 525 écoliers, de 350 éléments des mouvements sportifs et de jeunesse, de 250 collégiens et de lycéens.
Les anciens combattants et les pensionnaires des écoles coraniques, les écoles maternelles, les cases des tout-petits, les centres de formation et les majorettes étaient aussi de la partie. Les chevaux ont fermé la marche.
Les enfants des écoles maternelles et cases des tout-petits, dont certains étaient en treillis, ainsi que les talibés encadrés par l’Association Siggil Almoudo qui ont paradé, tout de blanc vêtus, avec leur sébile en bandoulière, ont particulièrement fait sensation.
Après le passage des civils, les militaires et les paramilitaires sont entrés en scène. Il s’agissait notamment des gendarmes, des policiers, des sapeurs pompiers, des agents des eaux-et-forêts avec les gardes du Parc national du Niokolo Koba.
Concernant la partie motorisée du défilé, les handicapés ont ouvert la marche. La Sodefitex, la SDE, la SENELEC, entre autres sociétés, ont aussi pris part à la commémoration portant cette année sur le thème ‘’Forces de défense et de sécurité et développement économique et social’’.
Des distinctions ont été décernées par un jury aux meilleurs groupes de défilants. Chez les formations engagées, les agents du parc national Niokolo Koba étaient choisis, le Lycée Mame Cheikh Mbaye parmi les lycées, chez les tout-petits, la maternelle du Camp militaire Mamadou lamine Dramé, etc.
‘’Je pense que ça a été une réussite éclatante du point de vue de l’organisation et de la participation de la population de Tambacounda’’, a dit, au terme du défilé, le gouverneur Gabriel Ndiaye.
Il avait à ses côtés son homologue gambien de la région de Bassé, Omar Sompo Cisseh, qui était l’invité d’honneur. M. Cisseh avait invité son homologue sénégalais le 15 mars dernier lors de la fête de l’indépendance de la Gambie.
M. Cisseh a indiqué au terme de la cérémonie de Tambacounda que sa présence au défilé était une façon de ‘’manifester (sa) solidarité’’ à son homologue.
C’était aussi un moyen de matérialiser les relations entre le présidents sénégalais Macky Sall et gambien Yahya Jammeh, a-t-il ajouté soutenant que le Sénégal et la Gambie sont un même peuple qui a été divisé par le colonisateur, a-t-il relevé.
Cinq décorations ont été remises avant le démarrage du défilé. Le colonel Salif Diédhiou, commandant de la légion est de la gendarmerie, a été fait officier de l’Ordre national du lion.
L’adjudant-chef de gendarmerie El Hadji Diémé, l’adjudant-chef des sapeurs-pompiers Laurent Diouf et son camarade du même corps Serigne Sam Kane ont été élevés au rang de chevaliers dans l’Ordre national du mérite. Le gendarme Ousmane Sangaré, chef de poste de Gouloumbou, s’est vu décerner la médaille militaire.
(APS)
Inscription à :
Commentaires (Atom)